Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
c'est la vie de jean
4 novembre 2014

The Evil Within

Depuis l’annonce de son arrivée sur les consoles Xbox - Skin sticker Xbox 360, The Evil Within n’a eu de cesse de draguer les amateurs de survival horror « à l’ancienne » pour finir ensuite par se poser – après quelques sorties convaincantes dans les médias – comme celui qui pouvait avoir la capacité de véritablement s’imposer comme une référence vidéoludique au sens large. Si le nom de Mikami n’est évidemment pas étranger à cet élan d’enthousiasme, il n’est pas le seul élément qui plait à l’évocation de son nom : zombies, ambiance pesante et surtout nouvelle génération de consoles ont les qualités pour créer le mélange que les amateurs de survival attendaient depuis pas mal de temps. Et ça tombe bien parce qu’avec The Evil Within, leur patience est plutôt bien récompensée.

 

Cela fait maintenant un bail que le survival horror n’est plus un genre majeur du jeu vidéo. Peu de nouveautés, des licences existantes qui prennent une orientation portée vers l’action… Celui qui ne jure que par les punchlines signées Bary Burton ou les frasques intimes des occupants de Silent Hill peine aujourd’hui quelque peu à satisfaire son besoin de ressentir le grand frisson. L’absence est d’ailleurs d’autant plus dommageable lorsque l’on a entre les mains une console fraichement sortie ; car s’il y a bien un genre qui profite des avancées technologiques pour mieux exprimer le fond de sa pensée, c’est le survival horror. On se souvient encore de l’effet nouvelle génération sur Xbox 360 -  Skin sticker Xbox 360 Slim avec la sortie de Condemned : exactement le genre de sensations que l’on aime retrouver. Tout cela pour dire que The Evil Within est enfin disponible sur Xbox One, machine sur laquelle nous l’avons testé, en quête d’une bonne dose de frissons et curieux de voir ce que donne une boucherie nouvelle génération.

 

Ces environnements très variés, passant par le cimetière, l’hôpital, le vieux village ou encore des galeries souterraines, illustrent avec beaucoup de justesse une pâte artistique très inspirée, capable d’emprunter à l’existant pour le sublimer de quelques détails bien sentis. Les références sont ainsi nombreuses, mais The Evil Within est un jeu qui a son identité. Et techniquement, l’ensemble est plutôt convaincant sur Xbox 360 - skin sticker Xbox 360, en dépit de certains aspects « cross gen » visibles, comme les animations un peu rigides et des textures qui font un peu le yoyo. Parfois travaillés, des fois un peu moins, les graphismes font globalement le boulot et le soft profite de jeux de lumières assez intéressants ; l’ensemble affiche une fluidité rarement prise à défaut et si vous vous demandez si The Evil Within est un bon jeu nouvelle génération, la réponse est oui. Mais alors, où pèche-t-il vraiment ? On a parlé du « die and retry », de la visibilité parfois difficile ou encore des points de contrôle pas très bien placés. On rajoutera à cela une intelligence artificielle très inégale, avec des ennemis dont il est difficile de prévoir les actions : parfois aveugles mais néanmoins trop souvent alertés alors que l’on fait le maximum pour se planquer, les ennemis nous forcent souvent à une approche brutale dont on se serait bien passé. Oui, on préfère l’ombre dans The Evil Within, car elle est aussi synonyme d’un excellent travail des équipes de développement sur l’environnement sonore. Les musiques discrètes ou envoutantes laissent s’échapper des petits sons inquiétants… 

Publicité
Publicité
Commentaires
c'est la vie de jean
Publicité
Archives
Publicité